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La bienveillance dans les livres

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Lytta Basset : « Oser la bienveillance » - « La constante macabre » - « Pour des élèves heureux et travailleurs » - « Je et tu » (Présence Mariste n°282, janvier 2015)

Lytta Basset : Oser la bienveillance

Lytta Basset

Qui croit encore au péché originel ? Les Eglises elles-mêmes n’en parlent plus guère, et la sécularisation nous a fait ranger ce dogme au rang des vieilleries moralisantes.

Et pourtant ! Après avoir terrorisé nos ancêtres, il fait encore sentir ses ravages dans bien des domaines, et notamment celui de l’éducation : que nous le voulions ou non, nous avons intégré cette perception négative de la nature humaine, et la reproduisons sans cesse.

Lytta Basset décrit ici la généalogie et l’impact de cette notion profondément nocive qui remonte à Saint Augustin, et qui contredit les premiers Pères de l’Eglise. Elle montre comment ce pessimisme radical est totalement étranger à l’Évangile : tout au contraire, les gestes et paroles de Jésus nous appellent à développer un autre regard sur l’être humain, fondé sur la certitude que nous sommes bénis dès le départ, et le resterons toujours. Appuyé sur le socle de cette Bienveillance originelle, chacun de nous peut oser la bienveillance envers lui-même et envers autrui, et passer ainsi de la culpabilité à la responsabilité.

Mobilisant les ressources de la psychologie, de la philosophie et des sciences humaines, voici un ouvrage novateur et fondateur, propre à renverser notre vision de l’humanité, de son potentiel et de ses limites.


On peut lire aussi :

La constante macabre

Bibliographie

« Par Constante macabre, j’entends qu’inconsciemment les enseignants s’arrangent toujours, sous la pression de la société, pour mettre un certain pourcentage de mauvaises notes. Ce pourcentage est la constante macabre ». (André Antibi)

Pour des élèves heureux et travailleurs

Éradiquer le phénomène de la constante macabre en mettant en pratique un système d’évaluation par contrat de confiance.

Je et tu

Je et tu

"Il faut avoir rencontré Martin Buber
pour comprendre,
dans le temps d’un regard,
la philosophie de la rencontre,
cette synthèse de l’événement
et de l’éternité".
(Gaston Bachelard

(Publié dans « Présence Mariste » n°282, janvier 2015)

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