Aujourd’hui, quand j’entends le mot JEUNES je pense immédiatement au monde de l‘éducation qui s’ouvre sur des espaces concrets de notre société : école, collège, lycée, université, centres spécialisés…
Je pense aux blocages récents de nos facultés françaises, pourquoi ? pour qui ? Des jeunes aspirant à suivre le cursus de leur formation, d’autres faisant tout pour briser ce cursus pour de multiples raisons !
Je vois aussi des jeunes zadistes qui, ici ou là, rêvent d’utopie sociale, écologique, politique. Je pense aussi à tous les jeunes qui se rassemblent encore à Taizé, de façon régulière, ou se retrouvant dans l’une ou l’autre capitale européenne. Il y a aussi ceux et celles qui vivent dans l’esprit des JMJ et s’apprêtent à participer prochainement au Panama. Je n’oublie pas toutes celles et ceux qui cherchent du boulot dans nos sociétés. Parmi eux déjà certains entament des carrières de jeunes entrepreneurs mettant toute leur créativité sur le marché.
Rappelons que c’est cette année que le pape François convoque le Synode sur les Jeunes, manière de nous souvenir de tous ceux et celles qui sont consultés, engagés dans cette préparation. Il y a celles et ceux qui cherchent un sens à leur vie, parmi eux, une minorité bien trop petite, voulant devenir prêtre, consacré. Il y a ceux qui se marient, prenant le risque de l’engagement dans un flot de fragilités tel que l’avenir est compromis rapidement et se brise sur les difficultés. Oui, les JEUNES, qui sont-ils ? que cherchent-ils ? Pensons-nous encore que « Chaque jeune a vocation à l’amour, à l’engagement, au bonheur » ?
Articles composant ce dossier :
- Jeunes, Eglise, Société
- Qu’est-ce que j’ai dans ma petite tête ?
- Un mois chez les Petites Sœurs des Pauvres
- Faire confiance aux jeunes
- Témoignage à deux voix
- Le monde des jeunes
- Au cœur de ma vie, un engagement qui jaillit